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Après la chaleur, les particules fines déferlent sur le royaume

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La Thaïlande fait face à une situation préoccupante de pollution de l’air, touchant particulièrement le nord du pays. L’Agence thaïlandaise de développement des technologies de la géomatique et de l’espace (GISTDA) rapporte des niveaux de PM2.5 (particules fines) extrêmement élevés, classés dans le rouge (dangereux) pour 11 provinces.

Ces taux de pollution, allant de 82,1 à 158,8 microgrammes par mètre cube sur 24 heures, dépassent largement la limite de sécurité fixée à 37,5 µg/m³. La palme du taux le plus alarmant revient à la province de Chiang Rai (158,8), suivie de près par Chiang Mai (141,9).

Une situation préoccupante également dans 46 autres provinces, principalement situées dans les plaines centrales et le nord-est, où les niveaux de PM2.5 atteignent le code orange (orange), c’est-à-dire malsain, avec des relevés compris entre 38,2 et 67,6 µg/m³.

Heureusement, l’est et le sud du pays bénéficient d’une qualité de l’air jugée bonne à modérée. Phuket et Phangnga tirent leur épingle du jeu avec des taux respectifs de 15,3 µg/m³ et 15,7 µg/m³.

La gravité de la situation est confirmée par IQAir, une entreprise suisse spécialisée dans la qualité de l’air. Son classement place Chiang Mai au quatrième rang des villes les plus polluées au monde, derrière Delhi, Lahore et Katmandou.

Gavroche-thailande.com – 12 mai 2024

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