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Le Vietnam garantit la liberté sur Internet

Au Vietnam, les médias sociaux (Facebook, Zalo, Twitter, Instagram, Tiktok) sont largement utilisés dans la vie socio-économique et culturelle. Environ 65 millions de Vietnamiens utilisent Facebook.

L’ONG Freedom House a récemment publié son rapport de 2021 avec des évaluations partiales sur la liberté sur Internet au Vietnam.

Son énième rapport détonne par ses prises de position et observations partiales, aberrantes et cyniques. Pour preuve, les contenus qu’elle a mentionnés sont contraires aux réalités au Vietnam.

En fait, les efforts pour promouvoir et garantir les droits de l’homme au Vietnam ont été très appréciés par des pays et organisations internationales lors des cycles de l’Examen périodique universel (EPU ou UPR en anglais) du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.

Cette agence onusienne considère toujours le Vietnam comme un point positif en matière de développement humain, grâce à la mise en œuvre des Objectifs du Millénaire pour le Développement concernant la réduction de la pauvreté, l’équité et le progrès sociaux.

Dans le contexte de COVID-19, le Vietnam est mentionné pour avoir toujours placé la santé de sa population au premier plan des préoccupations.

Selon un rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), l’indice de développement humain (HDI) en 2019 au Vietnam était de 0,704, ce qui a permis, pour la première fois, de classer le pays parmi les nations ayant un indice élevé, au 117e rang/189 nations et territoires.

Les réalisations du Vietnam sur Internet sont également impressionnantes. Le Vietnam est l’un des pays ayant les taux de croissance et d’utilisation d’Internet les plus élevés au monde avec plus de 68 millions d’internautes (soit 70% de sa population). Le Vietnam figure parmi des 20 pays comptant le plus grand nombre d’internautes au monde.

L’exercice du droit à la liberté d’Internet et des réseaux sociaux est toujours placé dans le cadre légal, pour assurer la cybersécurité, prévenir et empêcher les abus violant la loi vietnamienne.

Les médias sociaux (Facebook, Zalo, Twitter, Instagram, Tiktok) sont largement utilisés dans la vie socio-économique et culturelle. Au Vietnam, 65 millions de personnes utilisent Facebook. De nombreuses agences et organisations du système politique, du niveau central au niveau local, utilisent Internet et des réseaux sociaux pour travailler, traiter les procédures administratives, etc.

Ce sont des preuves vivantes montrant que le Parti, l’Etat respectent toujours le droit au développement de chaque personne, sa liberté sur Internet.

La critique de Freedom House pour la loi sur la cybersécurité du Vietnam, jugeant qu’elle vise à contrôler les utilisateurs d’Internet, est ainsi extrêmement absurde.

La loi sur la cybersécurité remédie aux faiblesses et lacunes juridiques pour assurer un cyberespace sûr. Elle renforce la garantie des droits de l’homme et du citoyen selon la Constitution, en vue d’assurer la cybersécurité, d’empêcher les abus des réseaux sociaux pour violer la loi.

La loi sur la cybersécurité du Vietnam est tout à fait conforme aux dispositions du droit international, en particulier au Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).

Les évaluations partiales de Freedom House concernant la liberté sur Internet au Vietnam, qui ont été répétées depuis la publication de la loi sur la cybersécurité au Vietnam, visent à inciter et à provoquer des troubles sociaux.

Les informations sur la situation au Vietnam auxquelles Freedom House a accès proviennent principalement d’organisations réactionnaires. De toute évidence, ces informations ne reflètent pas la réalité. Le but est de créer de fausses perceptions sur la liberté sur Internet et les droits de l’homme au Vietnam afin de ternir l’image, de réduire le prestige, la position et le rôle du Vietnam sur la scène internationale.

Selon le directeur de l’Institut d’études Hô Chi Minh de l’Université russe de Saint-Pétersbourg, Vladimir Kolotov, chaque année, Freedom House publie une liste subjective, inchangée, qui ne reflète pas la situation réelle des aspects des droits de l’homme dans les pays du monde entier.

Freedom House ne se base pas sur des faits, se donne le droit d’accuser des pays de violer les droits de l’homme, la liberté de croyance…, et s’appuie sur cela pour s’ingérer dans les affaires intérieures de pays, a-t-il indiqué.

De toute évidence, Freedom House n’a pas le droit de s’ingérer dans les affaires intérieures des pays et ne peut pas faire pression sur le Vietnam avec des commentaires partiaux et biaisés sur la liberté sur Internet et les droits de l’homme au Vietnam. Freedom House doit immédiatement mettre un terme à ces rapports dépourvus de toute valeur, a-t-il conclu.

Agence Vietnamienne d’Information – 29 septembre 2021

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